dimanche 30 décembre 2012

A L'INDEX n°22


Ce numéro 22  est paru en Hiver 2012.
21X15 - 106 pages intérieures -
(tirage 150 exemplaires)


Au Doigt & à l'Oeil - Jean-Claude Tardif

Entre les racines du Marronnier
(Jean-Claude Chenut - Hervé Delabarre
Françoise Delahaye - Jean-Claude Tardif - Jacques A.Thibaud)

Je suis amoureuse de toi" dit-elle - Jean-Marc Couvé 
Le Cimetière de Tréboul (prose) -  Marc Le Gros

Jeu de Paumes (petite anthologie portative)
Michel Cossec - Chantal Dupuy-Dunier - 
Khalid El Morabethi - Erwann Gourmelen -
Jeanpyer Poëls -  Fabien Tellier - Ulker Ucqar

Christophe Dauphin présente Marc Patin
suivi de  Trois inédits de Marc Patin
Ingmar Bergman m'a dit suivi de Le Chant des crapauds - Hervé Delabarre
L'étrange histoire de Paul Guéno (nouvelle) - Jean-Claude Tardif
Clin d'encre à Henri-Charles Alleaume
Trois poèmes inédits de Ferruccio Brugnaro
Finistère - poème - de Patrick Mouze
Paroles donnée à Emmanuel Golfin 
Monologue des éléments
Berne & autres poèmes de Christophe Dauphin
Yves Cosson une grande figure de la poésie à Nantes
suivi de trois inédits de Claude Serreau


Quelques numéros disponibles 15€

revue.alindex@free.fr



Plus d’une vingtaine d’auteurs convoqués pour ce numéro 22 de la revue A l’index animée par le poète Jean-Claude Tardif. On y lira notamment l’ami Christophe Dauphin poursuivant son inlassable travail afin de faire redécouvrir l’importante poésie de Marc Patin, l’un des poètes qui maintinrent, souvent au péril de leur vie, l’existence du surréalisme à Paris sous l’occupation allemande. Leur groupe s’appelait La Main à Plume, plusieurs numéros de revue ont alors paru clandestinement. Sur Patin :http://www.recoursaupoeme.fr/po%C3%A8tes/marc-patin
Patin est à l’évidence un grand poète trop méconnu, victime de son non conformisme politique après 1945. Sur La main à Plume, on lira l’anthologie publiée chez Syllepse en 2008 (une partie des textes avaient été réunis, à la demande de Richard Walter, par Matthieu Baumier et Nadine Lefebure, laquelle fut, jeune, membre de ce groupe).
On lira aussi des poèmes de Christophe Dauphin dans cette même livraison.
A l’index mêle des poètes habitués des revues de poésie et de jeunes ou nouvelles voix. Certains apparaissant ici pour la première fois. Il faut louer l’abnégation de cette revue qui, avec d’autres, s’échine à faire découvrir des voix nouvelles, démontrant par l’exemple que la poésie n’a pas abdiqué toute vigueur, n’en déplaise aux oiseaux de mauvais augures égarés parfois dans l’aigreur. Ce numéro s’apparente ainsi à une sorte de « lien » entre hier et maintenant : outre les voix nouvelles, on y trouve un hommage à l’aventure du nouveau marronnier, revue qui sévissait du côté de Rennes au crépuscule du siècle passé. Les pages qui suivent donnent à lire des poèmes de belle tenue, dont, selon mon goût personnel, ceux de Michel Cossec ou Chantal Dupuy-Dunier. On lira aussi avec force attention les trois poèmes inédits de Ferruccio Brugnaro publiés en bilingue, ainsi que le Dialogue des éléments d’Emmanuel Golfin ou les inédits de Claude Serreau. Une revue riche.

revue À l’index, association Le Livre à Dire. Jean-Claude Tardif, 11 rue du stade. 76133 Epouville. 


"Un vieux bourg étalé comme un glaire/de vieux breton a tout pour plaire" (Patrick Mouze de Plonevez à Plancoët) Combien de noms de lieux de Bretagne cités dans ce numéro 22 de A L'INDEX ? ça va de St Malo où les poètes de l'ancienne revue (1987-1991) Jean-Claude Chenut, Hervé Delabarre, Françoise Delahaye, Jean-Claude Tardif, Jacques-Albert Thibaud se retrouvent pour un boeuf  "en proie à une hallucination verbale/Dû au contre-ut d'une diva//venue leur percer l'anus"( Hervé Delabarre) à Douarnenez et dans le cimetière de Tréboul où Marc Legros nous entraÏne sur les traces de Georges Poulot (dit Perros). Des lieux bretons, des figures bretonnes (par ex. Yves Cosson auquel Claude Serreau rend hommage). Quelques auteurs d'ailleurs quand même : Christophe Dauphin, Ferruccio Brugnaro, Marc Pantin, Ulker Ucqar "Tu vois dans ce poème je ne porte pas le voile/Et je marche sur l'eau..." Très chouette mise en page. Bien plaisante revue.
 - Christian Degoutte Revue VERSO n°153

Jean-Claude Tardif, dans son écho, nous invite à faire "acte de résistance" en lisant la poésie et ses revues, trop nombreuses à disparaître. Dans ce numéro, il adresse d'ailleurs un clin d’œil à sa première revue, "Le Nouveau Marronnier" en publiant des textes de certains auteurs de celle-ci (Jean-Claude Chenut, Hervé Delabarre, Françoise Delahaye, Jacques-Albert Thibault et lui-même). On découvre avec plaisir la vie et trois poèmes inédits du poète surréaliste trop longtemps oublié,  Marc Patin (1919-1944) : "La nuit je pense à vous votre visage est devant moi/au niveau des miroirs et des sables/ Mère des bouquets et des arbres mère aux mains palpable/Je vous vois vous avez des rires entre les doigts (...) ". En fin d'ouvrage les notes de lecture de Jean Chatard dont on apprécie l'équilibre entre extraits et analyse

Revue CONTRE-ALLEE n°33/34

lundi 3 septembre 2012

A L'INDEX n°21



Ce numéro 21  est paru à l'Eté 2012.
21X15 - 100 pages intérieures -
(tirage 150 exemplaires)


Au Doigt & à l'Oeil - Jean-Claude Tardif
Face à la Douleur - Denise Desautels 
Trois Inédits - Jacques Ancet 
Le Cellier (prose) -  Philippe Claudel

Jeu de Paumes (petite anthologie portative)
Pascal Bâtard – Anne Marie Bruch – Nicolas Gille – 
Franck Reinnaz - Fabien Tellier 
 Lions de l'Atlas - Kaled Benguerrah
Ingmar Bergman m'a dit suivi de Le Chant des crapauds - Hervé Delabarre
L'étrange histoire de Paul Guéno (nouvelle) - Jean-Claude Tardif

Paroles donnée à Susan Han 
Le chant du cygne de la femme triste
à la naissance du millénaire.
(Traduction Raymond Farina)

Dis "solution" miracle et autres textes - Jean-Marc Couvé
 Toute notre vie - Jean-Pierre Védrines
Ce qu'il en est aujourd'hui (nouvelle) suivie de Jeu de pistes - Fabien Sanchez
Cinq poèmes inédits -Jean-Michel Bongiraud

Montré du Doigt (notes de lecture)
Jean Chatard


° Ce numéro est le premier publié
sous format 21X15 -


Quelques numéros disponibles 15€

revue.alindex@free.fr

On en parle
 L’INDEX n° 21 :
On était en, droit de se demander comment la revue À l’index allait pouvoir continuer avec la disparition de Michel Héroult qui l’imprimait depuis une dizaine d’années. Jean-Claude Tardif, son animateur, a trouvé rapidement une solution puisque paraît ce n° 21 avec le même style de couverture mais un format moins oblong, «  à la française » et une impression deux-couleurs où tous les titres ressortent en rouge. Aucune indication n’est donnée sur sa fabrication… C’est légal, ça ? Contrairement à DéchargeA l’index préfère recevoir les manuscrits sous format informatique.
15 €. revue.alindex@free.fr

A l'index N°21

Depuis peu, Jean-Claude Tardif est orphelin de Michel Héroult son imprimeur-éditeur qui l'accompagne depuis ses débuts de revuiste en 1999. Malgré tout, il a pu mener à terme la composition de ce copieux « espace d'écrits » qui s'ouvre avec Face à la douleur , trois poèmes de Denise Desautels, en référence aux souffrances endurées par beaucoup de femmes du monde entier. En donnant à chaque poète retenu un espace suffisant, Tardif permet au lecteur de pénétrer dans l'univers personnel de chacun, ainsi pour Hervé Delabarre ou Jean-Pierre Védrines et de même pour les cinq poètes retenus pour la « petite anthologie portative ». Côté proses, on relèvera une touchante nouvelle de Philippe Claudel ainsi qu'une autre, très troublante, de Tardif lui-même. Avec trois textes brefs et percutants, Jean-Michel Bongiraud prolonge ses éditoriaux de Pages Insulaires tout en donnant un avant-goût de ce que sera la nouvelle revue qu'il va proposer. Quelques trop rares notes de lecture terminent ce numéro bien équilibré dans le dosage des différentes rubriques.

A l'index N°21 (septembre 2012) , 102 pages, 15 euros-
11, rue du Stade – 76133 Epouville

Georges Cathalo

Sous un nouveau format (à la française, proche de celui de Harfang), la revue "A L'Index" prend un second souffle. Des textes poétiques de qualité ( ) et aussi trois nouvelles signées P.Claudel, F.Sanchez, J.C.Tardif... Bon vent donc à cette nouvelle formule.
 - in revue Harfang n°41 -




lundi 23 juillet 2012

A L'INDEX n° 20

 CE NUMERO EST EPUISE

Ce numéro 20  est paru en Automne 2011.
24X18.5 - 110 pages intérieures -

La Machine à se souvenir de Roberto San Geroteo

constitue le septième numéro de la Collection EMPREINTES.  Numéro particulier consacré à un auteur.  
 "La Machine à se souvenir" est un recueil de poèmes est suivi d'un entretien entre l'auteur & Jean-Claude Tardif et d'une mini-anthologie reprenant des voix de poètes de Castille et du Léon :

Pedro Salinas - Jorge Guillén - Victoriano Cremer -Leopoldo Panero - Francisco Pino - Dionisio Ridruejo - Claudio Rodriguez - Anibal Nuñez - José Miguel Ullãn - Leopoldo Maria Panero - Domingo Joaquîn Santos 

durant la fabrication de ce numéro, notre ami et imprimeur de la revue depuis 1999 Michel Héroult est décédé. 
L'impression suivante se fit sous un format 15X21 (format actuel de la revue)



Quelques numéros toujours disponibles 15€

A L'INDEX n° 19


Ce numéro 19 est paru en 2010
24X18.5 - 196 pages intérieures -                CE NUMERO EST EPUISE
Vignette de couverture : Yves Barbier
(numéro du 10 ème anniversaire de la revue)


Au Doigt & à l'Oeil - Jean-Claude Tardif
Petits gestes singuliers - poèmes de - Jean Chatard

Dossier - Qu'est-ce qu'écrire aujourd'hui
               avec la participation de
Françoise Ascal - Michel Baglin - Joël Bastard
Ahmed Ben Dhiab - Hervé Carn - Hugues Corriveau -
Françoise Coulmin - Jean-Marc Couvé - Christophe
Dauphin - Denise Desautels - André Duprat - Antoine
Emaz - Otto Ganz - Jean-Paul Gourévitch - Alain Kewes -
Béatrice Libert - Roland Nadaus - Gabriel Okoundji -
Ghislain Ripault - Nicolas Schoener - Jean-Max Tixier -
Jean-Pierre Vedrines - Claude Vercey - Thomas Vinau

Voix donnée à Didier Le Nargard 

Textes de Hafsa Saifi
Poèmes de Sylvie Roubadi
La Séquence du saumon de Anselmo Moro
(traduction Paola Bonetti/Jean-Claude Tardif)
Canal Jonction de Christine Van Acker & Alain Helissen
Les saxiphages s'étonnent - extrait - de Patrick Joquel
Que sont mes amis devenus... de Jean-Claude Tardif

Montrés du doigt - chroniques & notes de lecture -
 par  Jean Chatard - Gérard Paris - Michel Héroult

Ce numéro est épuisé

revue.alindex@free.fr

On en parle

     Elle ne sont pas si nombreuses, les revues qui atteignent les dix ans d'âge, A L'Index a franchi le cap avec cette dix-neuvième livraison marquant l'anniversaire en question. Pour l'occasion, Jean-Claude Tardif, responsable de la publication, a soumis le question : "Qu'est-ce qu'écrire aujourd'hui ?" à vingt-quatre poètes. Le dossier ainsi rassemblé constitue la pièce maîtresse de cet épais numéro. Les réponses, bien sûr, varient d'un auteur à l'autre mais on pourra quand même trouver des similitudes entre certaines d'entre elles. Ainsi Françoise Ascal évoque-t-elle une "descente au fond de soi pour tenter d'y déchiffrer sa part d'inconnu" Belle définition à laquelle souscriraient sans doute Joël Bastard, Hugues Corriveau, Françoise Coulmin ou Denise Desautels. Antoine Emaz propose une définition plus laconique : "(écrire) c'est une activité manuelle, stylo ou clavier aboutissant à du papier noirci de signes : page manuscrite ou tirage imprimante." Et puis d'autres, comme Béatrice Libert, y voit un acte de résistance au matérialisme triomphant. Ghislain Ripault préfère se mettre à distance, posant plutôt une question selon lui plus opportune: " Quest-ce que publier aujourd'hui ?" Ou cette autre : "Que signifie, pour un auteur, collaborer à la braderie général ?" Jean-Max Tixier escamote lui aussi la question : "J'écris parce que ça me plaît et que j'en ai besoin." Laissons là ce dossier pour découvrir Didier Le Nagard, dont c'est ici la première publication, Hafsa Saifi, Sylvie Roubadi, Christine Van Acker et quelques autres...
Bon anniversaire A L'Index et bonne continuation !                            Alain Hélissen

A l'Index : celui de Jean-Claude Tardif (dont la sortie fut retardée) pose l'intemporelle question "Qu'est-ce qu'écrire (aujourd'hui) ?" à de nombreux écrivains - poètes, éditeurs, romanciers, revuistes... Les réponses, qui se lisent sous forme de poèmes ou de (plus ou moins) longues argumentations, sont parfois originales (Bastard, Kewes), font un pied de nez au trop-attendu (Corriveau, Ganz), revendiquent orgueil ou fierté (Coulmin, Dauphin), se réclament de l'amour, de la vie (Ascal, Ben Dhiab), comme de la mort (Védrines), ou se montrent méthodiques, quoique qu'espiègles (Emaz, Gourévitch, Vinau), voire se réclament d'une filiation (Baglin, Okoundji) ; auteurs ou lecteurs : personne ne peut rester indifférent, n°19, 184 pages. 

A L'INDEX n° 18

Ce numéro 18  est paru en Automne 2010.
24X18.5 - 180 pages intérieures -

Jean-Max Tixier ou La Mémoire des Mots 

constitue le sixième numéro de la Collection EMPREINTES.  Numéro particulier consacré à un auteur.  
 "Jean-Max Tixier ou la mémoire des mots" est la première somme autour de ce poète, romancier, revuiste. Ce volume rassemble de textes et poèmes inédits de l'auteur. Un entretien "Le parti pris des mots" entre l'auteur & Jean-Claude Tardif 
Ainsi que la participation amicale sous forme de poèmes ou d'études de :

Poèmes : Salah Stetié - Pierre Dhainault - Marcel Migozzi - Lorand Gaspar - Jean Joubert - Robert Sabatier - Frédéric-Jacques Temple - Béatrice Bonhomme - Michel Cosem - Jean-Claude Villain - Michel Dugué -Patrice Delbourg - Parviz Khazraï François Vignes
Etudes : André-Alain Morello - Jean Orizet - Bernard Mazo - Max Alhau - Marie-Claire Blancquart - Joëlle Gardes - Charles Dobzynski - Jacques Lovichi - Vénus Khoury-Ghata - Yves Broussard - Daniel Lewers - Jean Raymond - André Ughetto - Jacques Kériguy.
  
Ce numéro est orné de 3 photographies représentant l'auteur & de dessins inédits 

Quelques numéros toujours disponibles : 18€

ON EN PARLE


C’est en 1999 que Jean-Claude Tardif s’est lancé dans une périlleuse aventure : faire paraître régulièrement une revue de poésie. Entreprise à haut risque qui correspondait néanmoins à un besoin de créer, poursuivant ainsi une première expérience collective qu’il avait vécue avec " Le Nouveau Marronnier" qui proposa 8 numéros de 1988 à 1990. Afin de réussir dans son entreprise, Tardif a su s’entourer de collaborateurs expérimentés comme Jean Chatard et Michel Héroult.
Au départ, A l’index fut la « prolongation papier » des rencontres-lectures du « Livre-à-dire », dynamique association normande qui présente depuis 1997 des auteurs contemporains en partenariat avec la Bibliothèque Condorcet de Montivilliers.
Chaque livraison apporte son lot de confirmations (Autin-Grenier, Pirotte, Depestre, Stefan,…) et découvertes (Bastard, Bourlès, Viguié, Quélen,…). On y retrouve aussi des « baroudeurs-militants de la cause poétique » comme Mazo, Nadaus, Bongiraud ou Bocholier. Des numéros spéciaux composés autour d’un seul auteur, apportent un éclairage particulier sur des poètes qui devraient être plus lus et plus connus : Ngo Tu Lap (N°4), Parviz Kharzaï (N°6), Yves Barbier (N°10) ou Werner Lambersy (N°15).

Solide et rigoureuse

Ici, pas de sommaire pléthorique, mais un savant dosage entre les différentes rubriques afin de contribuer à un réel confort de lecture. Chaque auteur présenté dispose d’un nombre de pages suffisant pour que le lecteur puisse se faire une juste idée de sa poésie. A l’index présente aussi des suites de textes d’auteurs étrangers avec des traductions de qualité.
Revue solide et rigoureuse dans ses choix, A l’index ne fait aucune concession aux modes actuelles. Le dernier numéro paru, le 18, est entièrement consacré à Jean-Max Tixier, poète disparu depuis (voirl’article de Michel Baglin). Il s’agit d’un bouquet d’hommages où se côtoient une bonne vingtaine de poètes parmi lesquels Dhainaut, Bancquart, Orizet ou Lovichi.
Georges Cathalo – septembre 2010
A l’index

Un numéro spécial J-M Tixier

La revue de Jean-Claude Tardif existe depuis 2000 et a publié 18 numéros bien fournis. La dernière livraison qui vient de paraître est consacrée à Jean-Max Tixier, avec de très nombreuses contributions de critiques et d’amis, mais aussi des poèmes et un long entretien. Ce numéro, bouclé au moment du décès de Jean-Max Tixier, fait donc figure d’hommage.
La 18e livraison de la revue de Jean-Claude Tardif, « A l’index », était sous presse quand Jean-Max Tixier est décédé, le 29 septembre dernier. Aussi, les nombreuses contributions regroupées dans ce numéro dont les 180 pages lui sont consacrées, et qui entendaient saluer un confrère ou un ami, ont-elles pris malgré elles l’allure d’un tombeau.
Elles constituent en tout cas un bel hommage, mêlant études et évocations amicales, voire en fin de volume des poèmes dédiés à l’auteur de « Les silences du Passeur » . Des poèmes inédits ouvrent ce volume, un entretien avec Jean-Claude Tardif le clôt.
Jean-Max Tixier, qui était aussi critique et avait participé à la création de plusieurs revues ou à leurs comités de rédaction - des « Cahiers du Sud »(puis « Sud » et « Autre Sud ») à « Encres vives » - est ici salué par tous ceux qu’il y a côtoyés et avec lesquels il a entretenu dialogue et débat.

Nombreuses contributions

Jean Orizet s’interroge sur le temps chez Tixier, tout comme André-Alain Morello, Marie-Claire Bancquart met en évidence « une personnalité qui tient absolument à mettre des bornes à la sensibilité subjective »puis évolue vers plus de lyrisme à partir de « L’oiseau de glaise » , Daniel Leuwers salue un « poète de la ferveur cosmique » tandis que Bernard Mazo s’intéresse au théoricien, tout comme Max Alhau. Joëlle Gardes relève influence et parenté avec Saint-John Perse, Charles Dobzynski marque l’importance de la Méditerranée dans l’œuvre. Jacques Keriguy se penche lui sur le nouvelliste qui, avec ses « Notes de San Michele et autres textes » s’invente un Japon à la mesure de ses espaces intérieurs. Vénus Khoury-Ghata, Jacques Lovichi, Raymond Jean, Yves Broussard évoquent l’amitié et les controverses. André Ughetto souligne comment celui qui écrivait : « Parler pour n’être pas vaincu / Je retiens mot à mot le silence / Comme une digue l’océan », tendait à s’évader dans (et par) le chant. Si beaucoup rappellent que Jean-Max Tixier fut un prosateur prolixe, à la fois romancier, nouvelliste, essayiste, tous s’accordent pour reconnaître la primauté du poète et son importance dans les courants et les interrogations qui traversent la poésie des cinquante dernières années.
A ces contributions s’ajoutent des poèmes dédiés de Salah Stétié, Pierre Dhainaut, Lorand Gaspar, Jean Joubert, Jean-Claude Villain, Patrice Delbourg, Robert Sabatier, F-J Temple, etc.

Les mots nous disent ce que nous sommes

Le questionnement sur la poésie, notamment à propos du lyrisme, ou des avant-gardes, on le retrouve dans le long entretien de Jean-Max avec le directeur de la revue. Il y évoque ses valeurs : rigueur, exactitude, anti-lyrisme, lucidité. Le risque aussi que souligna Brindeau, lié à son « vertige de l’impersonnalité ». Son matérialisme enfin, et sa conception de la poésie qui en découle : « Je ne conçois pas le langage comme une sorte de métaphysique mais comme une matière dotée de propriétés spécifiques. (…) L’intelligence est une propriété de la matière biologique comme l’amour résulte de combinaisons hormonales dont le creuset est localisable dans le cerveau, ainsi que le révèlent des études neurophysiologiques. Le savoir n’empêche pas d’aimer ni d’en jouir. »
Il y dit aussi son attachement à la Provence et s’explique sur ses « romans du terroir », mais surtout creuse son rapport à la langue et à ces mots qu’il dit « chargés de mémoire » : « c’est eux qui nous disent finalement ce que nous sommes. Il me semble que l’assise du poème – de l’écriture – se trouve là ».

Michel Baglin

Lire aussi :

Présentation de A l’Index par G. Cathalo

A L' INDEX n°17



Ce numéro 21  est paru à l'Eté 2012.
21X15 - 100 pages intérieures -
(tirage 150 exemplaires)


Au Doigt & à l'Oeil - Jean-Claude Tardif
Face à la Douleur - Denise Desautels 
Trois Inédits - Jacques Ancet 
Le Cellier (prose) -  Philippe Claudel

Jeu de Paumes (petite anthologie portative)
Pascal Bâtard – Anne Marie Bruch – Nicolas Gille – 
Franck Reinnaz - Fabien Tellier 
 Lions de l'Atlas - Kaled Benguerrah
Ingmar Bergman m'a dit suivi de Le Chant des crapauds - Hervé Delabarre
L'étrange histoire de Paul Guéno (nouvelle) - Jean-Claude Tardif

Paroles donnée à Susan Han 
Le chant du cygne de la femme triste
à la naissance du millénaire.
(Traduction Raymond Farina)

Dis "solution" miracle et autres textes - Jean-Marc Couvé
 Toute notre vie - Jean-Pierre Védrines
Ce qu'il en est aujourd'hui (nouvelle) suivie de Jeu de pistes - Fabien Sanchez
Cinq poèmes inédits -Jean-Michel Bongiraud

Montré du Doigt (notes de lecture)
Jean Chatard


° Ce numéro est le premier publié
sous format 21X15 -


Quelques numéros disponibles 15€

revue.alindex@free.fr






A L' INDEX n°16

Ce numéro 16 est paru en.
24X18.5 - 167 pages intérieures -
Vignette de couverture : Yves Barbier

Sommaire : Au doigt & à l'oeil - Jean-Claude Tardif
Vignette: "La masque" de Jean-Pierre Chérès
L'Organisation & autres textes - Pierre Autin-Grenier
Ceux d'ici -Brève Anthologie Portative 
Yves Barbier - Michel Héroult - Céline Jardel - Eric Sénécal - Alain Chapelain - Jean Chatard - Jacques Moulin 
Rejeton de rechange - Jérémy Fraise
 
Clin d'encre à Claude VAILLANT
Carnet (pages choisies) - Jean-Marc Couvé
Poème - Amina Saïd

& de là  Brève Anthologie Portative 
Paola Bonetti - Jean-Max Tixier - Robert Momeux - Marc Syren - Vincent Wahl - Santiago Ruiz Artéguy - Otto Ganz  - Gabriel Okoundji - Jyrki Kiiskinen 


Montrés du Doigt (notes et critique : Jeanpyer Poëls -  Jean-Marc Couvé - Jean-Paul Gavard-Perret  - 

Quelques numéros disponibles 15€

revue.alindex@free.fr

A K'INDEX n°15

Ce numéro 15  est paru en 
24X18.5 - 115 pages intérieures -

Werner Lambersy ou la Nostalgie de l'Hérésie 

constitue le cinquième numéro de la Collection EMPREINTES.  Numéro particulier consacré à un auteur.  
 "Werner Lambersy ou la nostalgie de l'hérésie" econstitue un ensemble autour de l'oeuvre de ce poète majeur né à Anvers en 1941 et traduit dans plus d'une trentaine de langues à travers le monde. Ce volume rassemble des textes et poèmes inédits de l'auteur. Un entretien "Quoique les mots en grondent" entre l'auteur & Jean-Claude Tardif 

Ainsi que les participations amicales sous forme de poèmes, textes ou d'études de :

 Jean Claude Bologne - Marcel Moreau - Anne Guilbault - Jean-Claude Pirotte - Henri Bauchau - Bernard Noël - Pierre Alechinsky - Pierre-Yves Soucy - Jean-Pierre Verheggen - Serge Pey - François Weyergans - Tahar Bekri - Caroline Lamarche - Liliane Wouters - Lionel Bourg - Jean-Pierre Siméon - André Schmitz - Denys-Louis Colaux - Abdellatif Laabi - Léo Beeckman - Daniel De Bruycker - Patricia Castex Menier - Florian Mor - Nicole Sottiaux - Francine Caron

Illustration Sarah Kaliski - Guy Gofette - Jean-Louis Millet
Photographies : Jean Pol Sterc 

Quelques numéros toujours disponibles : 15€

Pour tous renseignements complémentaires : nous contacter sur : revue.alindex@free.fr 

Rencontrer Werner Lambersy

J’ai rencontré pour la première fois Werner Lambersy sur une aire de repos de l’autoroute A4, près de Château-Thierry, il y a huit ou neuf ans. Heureuse époque, qui paraît déjà tellement ancienne, où André Velter lisait de la poésie sur France Culture plusieurs fois par jour. Et donc, soudain, cet éclat noir, dense. Ne m’en reste aujourd’hui pas un mot, mais je me rappelle l’effet, je saurai le reconnaître. Ces jours-là, l’impression se prolonge et j’essaie de commander le livre dont provient la lecture. On m’apprend que le titre est épuisé. On ne fait pas de  commentaire. Ce n’est que bien plus tard que je réalise que Werner Lambersy a publié des dizaines de livres, seulement des petits tirages, seulement de « petits » éditeurs. On aurait pu me faire gagner quelques années de lecture roborative. Pour autant, je serais sans doute dans la même perplexité qu’aujourd’hui, du  haut  (ho-ho !) de ma  fréquentation de trois de ses livres, de quelques textes en revues : comment parler de l’œuvre et du poète ?  Aucune autre idée ne me vient, que  raconter  ces quelques rencontres. C’est trop peu, c’est déjà trop. Mais Werner lui même sans doute m’encouragerait vas-y ! avec timidité , mais  hardiment ! Constant dans l’erreur comme dirait un autre Belge, quoique bédéiste.
Le premier livre de Werner Lambersy que j’ai tenu en main n’a rien à voir avec Achille Talon, mais s’appelle quand même Achill Island note book, il est paru en 2006. Un album de voyage dans une Irlande « où les routes tournent rond » Le poète y est en goguette au milieu des signes iodés et alcoolisés, goguenard et tendre, moins de densité que de flocons d’écume, de laine ou de brume, encore que… « L’herbe du temps/est un pré communal et pousse/au bord des fossés/Personne ne peut dire : pas ici/ Alors/tout le monde met vite la nappe/pour le pique-nique/n’importe où »…
A l’Index n°15 Werner Lambersy ou la nostalgie de l’hérésie, Cette revue contient notamment l’entretien avec Otto Ganz, le poème « Le squelette qui pleure », première version de « La toilette du Mort », paru en volume en 2006 à l’Age d’homme, le poème « Conversation à l’intérieur d’un mur » et un entretien avec Jean-Claude Tardif, intitulé « Quoique mes mots en grondent »
Il a fallu que j’ouvre le numéro que la revue «A l’index »  lui a consacré, pour découvrir, sous la plume d’Otto Ganz, et sous la sienne, l’un des points de départ de son travail, le retournement initial. Vous allez voir, ça  nous regarde ! Rappelons donc qu’il est né à Anvers en 1941, dans la possible euphorie de son rexiste de père « qui (…) fasciné par la personnalité d’Adolf Hitler, (…) les expressions grandioses du national-socialisme, s’est engagé activement dans la collaboration (…) fonctionnaire méticuleux, à la fois ambigu dans ses choix et tristement banal dans son manque d’envergure » (Otto Ganz) . Renié et reniant, le fils a choisi l’envers d’un destin d’ordre et de puissance par procuration, que lui tissait le rêve du père.  « Tombeau/sous des tombereaux de silence/pour ce vieillard/enfant/abandonné par un fils/qui n’écrit même pas en flamand /et ne le venge/de rien pas même par un succès » ou encore «Monument funéraire/ (…) pour cet homme qui jamais/ne profita/d’un conflit où les guenons/de luxe/épouillaient/les vainqueurs de l’Europe/pour ce guerrier/battu/qui fête encore en l’an 2000/l’anniversaire/du Führer/comme un mamelouk à la mort/de l’empereur » (Le squelette qui pleure). N’importe quelle autre langue, mystique ou canaille, aurait été au rebours de cela, toute autre langue sans doute aurait pu être, pour Werner, respirable, habitable. Notre chance demeure que ce fût le français, vive la Belgique ! Ceci dit, le papa détestait « qu’on le commande en français », le fiston fait du français un outil de non pouvoir. La non-violence n’est pas l’Anvers ni même l’Auvers (autre nid de coucou batave) de la violence, c’est son dépassement.
Je ne peux pAlain Helissen, Mots ouverts à Werner, dans Sapriphage n°34, Automne 1998, Werner Lambersy, inédits, témoignages, entretiensas non plus m’empêcher de rapprocher de cette histoire, la désinvolture (autre virevolte) vis à vis de l’œuvre, répandue, sans souci apparent de construction, de thésaurisation, de capitalisation. « (… ) la poésie (…) se servirait de nous, comme un moulin de l’eau et du vent, qui ne savent pas où il vont, pour faire tourner la machine de l’être ». Et aussi (mais non, je n’avais pas inventé !) « la poésie passe par le timide » (entretien avec Jean-Claude Tardif) et encore (Alain Helissen) : « Les mots parent au plus pressé, tête en l’air, ils se font volontiers écraser par le premier venu (…) »
Werner Lambersy, Conversation à l’intérieur d’un mur, Rhubarbe, Auxerre, 2011Et depuis lors, depuis là-bas ? Quel style et quel homme ? « Sur l’arc du sexe amoureux, j’ai tendu toutes sortes de cordes jusqu’à ce que la cible, la flèche et le tireur ne fassent plus qu’un » Werner Lambersy  se revendique « athée provisoire», dit sa mystique comme « sentiment simple d’être ensemble l’ensemble et tout soi » « non pas éparpillé, mais bien au contraire tissé dans une trame serrée de quelques noms que je respecte » et invoque « le grand rire silencieux /de l’univers/ est une intelligence/amicale /qui ne veut pas que nous/nous sentions plus/petits ni inférieurs à elle » (Conversations à l’intérieur d’un mur).
« Maîtres et maisons de thé », un de ses livres les plus cités, aborde, sur le mode d’un rituel  métaphorique, mis en pièces et longuement recomposé, une éthique de la  construction de la rencontre, dans laquelle rien ne s’impose. Bâtir la confiance, en somme.  Difficile d’épuiser, de boire jusqu’à la feuille, à plus forte raison d’interpréter, un texte aussi foisonnant qu’il se veut architecturé ! Après quelques gorgées petites, mais répétées, je remarque une inversion de l’ordre convenu des initiations : la première rencontre est celle des amants « là le thé lentement préparé sera ce qui dure pour que deux êtres se contemplant coulent     glissent   infusent    se mêlent …. ». Vient ensuite celle avec le maître « …je t’ai laissé le vide/ la courbe et le bWerner Lambersy, Maîtres et maisons de thé, éditions Labor, Bruxelles, 1988ol/avec la pluie/le bord/est la  leçon où je m’épuise/je sais/comme le sol/ce qui s’échange en buvant », enfin l’ouverture au langage : «maître/il fallait bien/que je t’appelle ainsi/je ne savais pas donner/ni même appartenir/maintenant nous rions/quand il nous plait/d’user des mots » . Sans doute, en poursuivant, trouverais-je d’autres clés de lecture. Mais déjà, je retiens de cette modeste découverte une invitation à lire  de manière non linéaire, dans tous les sens,  une incitation à dérégler  ceux-là de cette manière aussi (et sans GPS) (apathie des cartes)! Et, en fil rouge, toujours constant dans l’erreur, le choix de la non puissance : « et ses ongles/étaient sur toutes choses/les tuiles fines d’un toit/la main/comme la maison/n’enfermait rien ».
Devant cette œuvre généreusement semée, éclaboussée, déployée, au delà des glanages, à nous peut-être de multiplier des moments de rapprochement, de recollement, où l’on se jouera des brisures du Poème. Tikkoun, avez vous dit Tikkoun ? Un jour peut-être, dans cette caricature d’économie de marché qu’est l’édition de poésie, quelque éditeur aura-t-il la folie de proposer à Werner de recomposer non le vase global, utopie plus mythique que mystique,  pas forcément désirable, mais du moins l’un des vases possibles. Nous y brasserons, nous y verrons fumer non la totalité de l’œuvre, mais notre propre désir d’écouter, sérieusement, joyeusement, le témoignage de ce vivant …
C’est un de ces moments, une de ces cérémonies secrètes, qui sera ménagé le 1er octobre à 16h30 à la Médiathèque du Pontiffroy dans le cadre des rencontres de Pontiffroy Poésie (entrée libre). Venez ! sans vous, il manquerait quelqu’un.
PS : On me signale l’anthologie parue chez Actes Sud en 2004, dont je ne connaissais pas l’existence. Je vois ce qui me reste à faire et me réjouis d’avance. Mais devant une œuvre aussi multiples, quelques vases de plus, quelques parcours de lecteurs,  quelques coéditions de ces petits éditeurs de poésie qui après avoir été à la peine, méritent un peu d’honneur ne feraient pas de mal !
   
 
 
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A L'INDEX n°14


Ce numéro 14  est paru en 
24X18.5 - 93 pages intérieures -

LE CHASSEUR DE FRONTIERES

de Tahar Fahloun

constitue le quatrième numéro de la Collection EMPREINTES.  Numéro particulier consacré à un auteur.  


Récit, il nous emmène dans une recherche des origines. 


Il constitue la première publication de l'auteur, français d'origine kabyle, né en 1953 à Oissel (Seine-Maritime)







Quelques numéros toujours disponibles : 10€

Pour tous renseignements complémentaires : nous contacter sur : revue.alindex@free.fr 

A L'INDEX n°12/13


Ce numéro 12/13 est paru en.2005
24X18.5 - 196 pages intérieures -
Vignette de couverture : Yves Barbier

Sommaire : Au doigt & à l'oeil - Jean-Claude Tardif
Sept Voix Nord Américaines
(réunies par Roberto San Geroteo/ Traduit par Christine Rimoldy)
Anne Sexton - Linda Pastan - Magarett Atwood - Sharon Olds - Tess Gallagher - Moïra Stanton - Alane Rollings

La Lagune - Jean Bensimon
Question de ... - Béatrice Mâchet
La Tour de Joyce - Jean-Jacques Nuel


Jeu de Paumes
Marie-Noëlle Agniau - Alain Chapelain - Armelle Leclercq - Bruno Toméra - Evelyne Boix-Moles - Marie Desmaretz - Jacques Simonomis

Fantaisies (extraits) - Raymond Farina
Néruda Poète de toujours  suivi de Dans le mode du Léopard - Parviz Khazraï
La cité de Tulsen (nouvelle) - Mélinda Cywie
Epigénie - Henri Rodier
En Galicie Orientale (nouvelle) - Jean-Paul Chabrier
Pages perdues à Cuba - Tahar Bekri
Tu pleureras avant ce soir - Patrick Poumirau


Montrés du Doigt (notes et critique)  : Jean Chatard - Robert Momeux -  Jacques Simonomis -Jean-Michel Bongiraud  - Michel Héroult

Quelques numéros disponibles 15€


Pour tous renseignements complémentaires nous contacter:
revue.alindex@free.fr

A L'INDEX n°11


Ce numéro 11 est paru en.2004
24X18.5 - 136 pages intérieures -
Vignette de couverture : Yves Barbier

Me retourne tel un sac - Anne Simao
Le dit du Colibri (extraits) - Stephen Bertrand
Canté  - Joël Bastard

Quatre poèmes de Linda Pastan
(traduction Raymond Farina)
Philippe Jaccottet et André Breton - Maurice Hénaud
Toujours encore le chant - Alexis Pelletier
L'autre bord - Emmanuel Golfin 
Le plus bel humour ... - Jean L'anselme
Jeu de Paumes
Michel Clément - Daniel Bourrion - Albarède


Libre-arbitre & autres textes - Michel Héroult
Le pays des monts et merveilles - Paul-Henri Jutant
Un violon dans la nuit  - Odile Caradec
Homme/Femme - Claude Vaillant


Parole donnée à : Guntram Vesper


Montrés du Doigt (notes et critique : Jean Chatard  - Michel Héroult - Jacques Simonomis

Quelques numéros disponibles 12€


Pour tous renseignements complémentaires 
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A L'INDEX n°10

Ce numéro 10  est paru en.
24X18.5 - 81 pages intérieures -

Débaptisé/Nu ? de YVES BARBIER

constitue le deuxième numéro de la Collection EMPREINTES.  Numéro particulier consacré à un auteur.  
 "Débaptisé/Nu" est un recueil de poèmes
est suivi d'un entretien : "Yves Barbier ou la voix du poème" entre l'auteur & Jean-Claude Tardif

ont également apporté leurs amicales contributions :
Jude Stéfan - Petr Kral - Franc Ducros - Jean Verdure
ILLUSTRATIONS Fabrice Fossey - Patrick Guallinor



Quelques numéros toujours disponibles 10€



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A LA'INDEX n°8/9


Ce numéro 8/9 est paru en .2003
24X18.5 - 172 pages intérieures -
Vignette de couverture : Yves Barbier

Sommaire : Au doigt & à l'oeil - Jean-Claude Tardif
Intra Muros (extraits) - Catherine Baptiste
Captif de moi - Jean-Albert Guénégan

Cortège Ouvrier - Ferruccio Brugnaro
(traduction Jean-Luc Lamouille)
Barque à Rome - Philippe Mathy
Eloge de la prose &... - Marcel Rist

Bleu sur fond rouge  - Santiago Ruiz Artéguy 
(Traduction Roberto San Geroteo)
Ubac - Olivier Matuszewski


Jeu de Paumes
Bernard Mazo -Philippe Nollet - Denise Miège - Béatrix Balteg - Jacques Moulin - Jean-Max Tixier -Jacques Simonomis - Gérard Bocholier


Quatre Proses - Jacques Josse
Quatre ou cinq rêves de la réalité - Jeanpyer Poëls
Etrangère - Porfirio Mamani Macedo
( traduit par Elisabeth Passedat)
La vérité est un mensonge - Rafaël Concejo
Le gymnaste du Cosmos - André Prodhomme 


Montrés du Doigt (notes et critiques :  Jean-Michel Bongiraud - Jean Chatard - Michel Héroult

Quelques numéros disponibles 12€



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A L'INDEX n°7

Ce numéro 7 est paru en .2003
24X18.5 - 140 pages intérieures -
Vignette de couverture : Yves Barbier

Sommaire : Au doigt & à l'oeil - Jean-Claude Tardif
Ombres - Jean-Claude Martin
L'humour phénomène contemporain - Jean L'Anselme

Le Voltigeur - Bruno Tomera
Jacques Kober ou ... - J.P. Gavard-Perret
Répons - Saïd Dib/ Daniel Bourrion

Deux poèmes inédits - Santiago Ruiz Artéguy 
(Traduction Roberto San Geroteo)
Capitale du Soir - Jean Chatard 
L'Irlande - Jean-Jacques Nuel


Jeu de Paume - Albarède Bluma Finkelstein Thierry Laporte Monique Rosenberg Jehan Despert


Le Saut de l'Ange - Patricia Castex Menier
Connaissez-vous Blanchard ?- Paul-Henri Jutant
Ombres & Lumières- Isabelle Guigou

Montrés du Doigt (notes et critiques :  Albarède Jean Chatard Michel Héroult

Quelques numéros disponibles 9€24



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