Ce numéro 26 est paru fin avril 2014 .
15X21 - 129 pages intérieures -
Tirage à 120 exemplaires
Hervé Delabarre, Dans l'Ombre du Lynx
comprend un recueil inédit : D’été
à étêter, sans faute.
et constitue le huitième numéro de la "Collection EMPREINTES".
dont chaque numéro est spécifiquement consacré à un auteur.
dont chaque numéro est spécifiquement consacré à un auteur.
ce recueil est suivi d'un entretien entre l'auteur & Jean-Claude Tardif
" Hervé Delabarre entre les lignes"
sont associés à ce numéro
Jean-Claude Chenut - «À
Hervé Delabarre»
Christophe Dauphin - «Hervé
Delabarre, Le chevalier du hasard-objectif» suivi
de
«Le
Bar de l’Univers»
Paul Farellier - «Dardant
innocemment sa langue»
Guy Girard - «Hervé
Delabarre, le survenant (à toute allure) »
André Prodhomme - «Le
poète aux crayons de feu» suivi
de
trois
poèmes
Paul Sanda - «Hervé
Delabarre, le ciseleur de l'inconscient»
Roberto San Geroteo - «Orgie
de sanguines pour la main gauche» - poèmes
Eric Sénécal - «Je
n’ai jamais vu Hervé Delabarre»
Jean-Claude Tardif - «Rue
de l'Aubépine»
La
recluse de Poitiers
(photographie)
Jacques-Albert Thibaud - "En visite
chez Hervé Delabarre" (poème)
L'ensemble est accompagné de dessins de Jacques Basse & d'une illustration originale de Françoise Delahaye, ainsi que de trois collages de l'auteur et de photographies provenant de collections privées
Quelques numéros disponibles 18€
revue.alindex@free.fr
On en parle
Quelques réactions des participants et de lecteurs
Le Vif et L’Avili
Le plagiat existe on le rencontre même en poésie
Quelques réactions des participants et de lecteurs
Il est très beau et complet ce numéro consacré à Hervé. Je suis particulièrement touché de ta contribution " rue de l'Aubépine". Notre amitié traverse le temps encore mieux que le beaujolais blanc car elle est vraie. je t'embrasse. Dédé
|
grand merci pour l'envoi du livre autour d'Hervé Delabarre. C'est un bien beau travail, auquel je suis ravi d'avoir été convié. Vraiment félicitations à toi pour cette construction en tous points remarquable.
Je découvre avec grand plaisir Hervé Delabarre à travers ce n°26 de "A l'Index", que j'avais pris pour un livre, et vous félicite pour votre très bel entretien avec lui. Je lis aussi d'autres textes dans ce numéro qui me plaisent énormément, aussi bien pour leur contenu que pour leur beauté littéraire. (Dominique Stoenesco)
Je voulais aussi te féliciter et te remercier pour "l'ombre du Lynx"; c'est très réussi, une livraison de qualité et fraternelle; Un bel hommage mérité à Hervé
Note(s) de Lecture
Je termine avec Dans l'ombre du Lynx - poésies et textes de et sur Hervé Delabarre (A L'Index n°26 - collection empreintes) Des poèmes pour commencer puis un entretien de l'auteur avec Jean-Claude Tardif. Pour ceux qui ne connaissent pas Delabarre (j'avoue en être), "poète et peintre surréaliste, H.D. est un explorateur des nuits insondables du psychisme, resté fidèle à la pensée d'André Breton", nous dit Paul Sanda. Allez donc vous promener "dans l'ombre du Lynx", nous avons tous à y apprendre.
Dans un entretien avec Jean-Claude Tardif, il revient sans détour sur son parcours, et évoque Benjamin Péret qui lui semble le plus méconnu des surréaliste tout en en incarnant le mieux l'esprit et demeure le plus irrécupérable pour les universitaires. Il met aussi à mal quelques clichés sur l'écriture automatique.
Un dossier de témoignages, de commentaires, d'hommages et de poèmes complète le volume. Christophe Dauphin revient en détail sur la rencontre déterminante d'Hervé Delabarre avec André Breton en 1963. Jean-Claude Chenut, André Prodhomme, Jean-Claude Tardif et Jacques-Albert Thibaud témoignent de l'amitié et de la rencontre, où Rennes tient une grande place. Guy Girard, Paul Farellier, Paul Sanda évoquent l'oeuvre.
Une approche assez exhaustive pour connaître "le ciseleur de l'inconscient" resté fidèle à la pensée du Surréalisme.
CRV n°26 - Claude Cailleau
*
Empreinte consacre un volume au poète et peintre, Hervé Delabarre, "surréaliste de sang", né en 1938 à Saint Malo. C'est par Annie Le Brun et Jean-Pierre Guillon rencontrés à Rennes, alors qu'il était étudiant, qu'il fit connaissance avec le Surréalisme. Ce volume, illustré par des portraits au crayon de Jacques Basse et par des photos débute par un recueil inédit d'Hervé Delabarre.Dans un entretien avec Jean-Claude Tardif, il revient sans détour sur son parcours, et évoque Benjamin Péret qui lui semble le plus méconnu des surréaliste tout en en incarnant le mieux l'esprit et demeure le plus irrécupérable pour les universitaires. Il met aussi à mal quelques clichés sur l'écriture automatique.
Un dossier de témoignages, de commentaires, d'hommages et de poèmes complète le volume. Christophe Dauphin revient en détail sur la rencontre déterminante d'Hervé Delabarre avec André Breton en 1963. Jean-Claude Chenut, André Prodhomme, Jean-Claude Tardif et Jacques-Albert Thibaud témoignent de l'amitié et de la rencontre, où Rennes tient une grande place. Guy Girard, Paul Farellier, Paul Sanda évoquent l'oeuvre.
Une approche assez exhaustive pour connaître "le ciseleur de l'inconscient" resté fidèle à la pensée du Surréalisme.
In revue Spered Gouez n°20 - Marie Josée Christien
Le Vif et L’Avili
Depuis
Isidore Ducasse, l’usage du plagiat peut toujours offrir
d’inappréciables accélérations
tant l’esprit critique qu’à l’invention poétique, en
provoquant et en exaltant une meilleure saisie du réel par
l’imagination créatrice. Voilà qui est bien entendu à l’opposé
des laborieux exercices de paresse mentale qui font la routine
littéraire, et pour lesquels cette méthode, parmi d’autres, ne
sert plus qu’à alimenter un verbiage n’ayant d’autre nécessité
que de masquer l’absence de cet enjeu passionnel qui distingue le
littérateur du véritable poète.
Ces
évidences valent d’être rappelées pour dénoncer l’escroquerie
faite à Hervé Delabarre par un certain Emilio De Santi. Pour
compenser l’indigence de ses moyens lyriques sinon de son
intelligence de la poésie, celui-ci s’est en effet permis, dans
une plaquette intitulée « Le soupir et la peur du soupir »
publiée dans la pourtant irréprochable Collection
de l’Umbo de Jean-Pierre Paraggio, de
plagier un poème de notre ami, « Avide d’elle avilie »
publié pour partie en 1990 dans le second numéro de la revue Le
château-lyre puis en recueil aux éditions
Encres d’argiles en
2000, auquel il a ajouté quelques vers de son cru (ou de quelqu’un
d’autre ?).
Mais il
suffit de comparer quelques vers du poème d’Hervé Delabarre au
tripatouillage éhonté qu’en a fait De Santi pour voir vers où
s’élève notre ami et vers où s’abaisse celui dont nous
n’aurons aucune peine à oublier le nom :
« Les
prestiges de l’ombre « L’éloge de l’ombre
Les pièges
tamisés les pièges tamisés
N’ont pas de place
ici ont tout loisir ici
C’est à la lumière
D’inventorier
l’anatomie obscène » Ce n’est pas au grand jour
d’exposer
les plaisirs du
palais »
« La main
s’englue « La main rougit en elle
En elle Elle sent
monter le cri
Elle voudrait
prier attendant qu’on l’achève
En attendant qu’on
l’achève
Sachant que cette fois
encore Sachant qu’une fois encore
Elle renaîtra elle
renaîtra
Sans même avoir connu la
mort » sans avoir vu les ciels (tonitruants »
« Au plus bas
d’elle-même « Au plus noir
Au plus
profond d’elle-même
Atteindra-t-elle
jamais au plus brillant
Un ciel où on la boit »
(H.D) Atteindra-t-elle
un ciel
qui la foudroie »
(E.D.S)
Paris, le 29 avril
2014
Le Groupe
surréaliste :
Elise Aru, Anny
Bonnin, Claude-Lucien Cauët, Alfredo Fernandes, Joël Gayraud, Guy
Girard, Michaël Löwy, Ana Orozco, Pierre Petiot, Jean-Raphaël
Prieto, Pierre-André Sauvageot, Michel Zimbacca.
Le plagiat existe on le rencontre même en poésie
COMMENT
PUISER SON INSPIRATION ?
Vous
trouverez dans les pages suivantes la liste non exhaustive des
emprunts (?! ) effectués par Emilio de Santi dans son recueil«
Le Soupir et la Peur du Soupir », à celui d'Hervé Delabarre« Avide d'elle
Avilie », ce dernier fort surpris ( ! ) d'avoir à retrouver
ses poèmes
sous un autre nom, légèrement parfois et tristement modifiés.Sur
la colonne de gauche les textes d ' « Avide... »
et sur la colonne de droite
ceux ( ? ) de « Le Soupir... ».Je
tiens à préciser que je ne doute pas de la bonne foi de l'éditeur
Jean-Pierre
Paraggio quand il a choisi de publier de Santi.
Rien
à ajouter, je pense, mais le dégoût, et la mince satisfaction
que
les textes de Emilio de Santi, quand ils ne reproduisent pas
intégralement, ou presque, les miens, ne sont pas fameux.
H.D.
J'avais écrit un petit billet que je vous livre ici
Les
mots faussés
Les mots, ceux qui
donnent corps à l'écrit, aux poèmes, sont bien d'avantage qu'un
ensemble de lettres, qu'un alphabet pour celui qui les emploie ; qui
s'emploie à les tracer, à leur donner épaisseur et mouvement sur
la page primitivement blanche. Ils sont le plus souvent, si écrivain
est honnête avec lui-même avant même de l'être avec l'autre –
le lecteur – le reflet de ses failles, ses fêlures, ses fractures.
Ecrire, c'est se chercher ! Se découvrir peut-être ! Et chemin
faisant, si l'on a un peu de chance, accoster à l'autre, le trouver,
le rencontrer. C'est l'une des raisons pour lesquelles, écrire est un
acte premier et personnel, une action intérieure et intrinsèque.
Ecrire engage tout entier ! Plus que toute autre activité elle est consubstantielle à celui qui la pratique, elle l'amine au sens
premier.
C'est
pour cela que le plagiat est intolérable, condamnable. Car non
seulement il dévalue acte d'écriture dans son ensemble, mais violente mentalement, intellectuellement celui qui en est la victime au
travers de son texte plagié. C'est de cet acte grossier, inique et
sale, qu'a été victime Hervé Delabarre. Son recueil : « Avide
d'elle avilie » ayant fait l'objet d'une mise en coupe réglée,
d'un saccage ! par un dénommé Emilio de Santi (peut-être un nom
d'emprunt là aussi ?) dans Le Soupir et la Peur du Soupir publié
par l'Association de l'Impossible (on ne peut faire mieux, c'est à
n'y pas croire).
Je
reproduis ci-dessous, quelques-unes des pages concernées, et vous
laisse chers lecteurs vous faire une opinion
AVIDE
d' ELLE... LE SOUPIR et …
Un
cil Un cil
Cèle cèle encore
La
soie la soie
§
§
Elle
s'étend Elle s'étend
S'écarte s'étale
Se
demande parfois... s'écartèle
§
§
Allongée
Allongée
Devant
la fenêtre déliée
Elle
se redresse elle se redresse
Pour
voir glisser en elle pour voir
Le
manche de la cravache passer en elle
le sceau du
prince
§
§
Qu'on
l'humilie Qu'on la fesse
L'inspecte
la caresse
ou la
fouette
Qu'importe
le doigt
Qui
l'oblige Qu'importe la
loi
qui
l'oblige
§
§
On
lui flatte la nuque On lui flatte la
nuque
Et le
plaisir et le plaisir
S'ajoute
au dégoût se mêle au plaisir
§
§
Qu'elle
expire Qu'elle expire
Qu'on
lui mette la main qu'on lui mette
Qu'on
lui retourne l'âme la main
lui
retourne l'être
§
§
La
main s'englue en elle... La main rougit en
elle
Elle
voudrait crier elle sent
monter le cri
Attendant
qu'on l'achève attendant qu'on
l'achève
Sachant
que cette fois encore sachant que cette fois encore
Elle
renaîtra elle
renaîtra
Sans
même avoir connu la mort sans même avoir connu
les ciels
tonitruants
§
§
Elle
s'ouvre Elles s'ouvre à
pleines mains
De
ses propres mains se décille
Tandis
qu'on rit tandis qu'on rit
Penché
sur elle penché sur elle
et les
jambes au vent
§
§
Nue
sous la lune Léchée à
chaque lune
A la
laisse Prête à
hurler
Prête
à hurler comme une
louve
Comme
un chien
dont
l'alcôve
Dans
la chambre-froide serait dépourvue
Ne
manque plus d'agneau
Que
le croc
§
§
Le
noir tombé Le noir
tombé
Elle
ressuscite elle
ressuscite
Au
bout de l'hameçon sur le bout d'une
aiguille
§
§
La
nuit La
nuit
Ne
retient d'elle ne
retient d'elle
Que
ce qu'elle voit que ce
qu'elle voit
§
§
Ne
rien dire Ne
rien dire
Du
nom de
la loi
Qui
l'oblige qui
l'oblige
§
§
Hervé
me dit que l'éditeur est de « bonne foi ». On peut, veut, le croire tant les
actions contre ce mode de comportement, en poésie, sont réduites aux acquêts. Impossible, ou pour le moins difficile,de poursuivre. Reste
donc à faire savoir. Là est là raison première de ce billet
L'avis de "dépuration' qui suit tendrait à la démontrer, il est signé de l'éditeur lui-même
☞
Avis
de déparution ! ☜
Nous
avons publie debut avril dans la série Passage du sud-ouest un
recueil intitule ≪ Le Soupir et la peur du soupir ≫ signe
par Emilio De Santi ; ce recueil offrait d’’indéniables qualités poétiques qui furent appréciées dès réception par plusieurs
lecteurs. Malheureusement, il s’est avéré rapidement que
nous étions en présence d’une contrefaçon : Figurant parmi
les premiers destinataires, Herve Delabarre signalait être l’auteur d’une partie du texte, et nous adressait le relevé précis et la mise en corrélation de citations relevant le plagiat de
ses propres poèmes publies en février 2000 sous le titre ≪
Avide
d’elle avilie ≫ aux éditions Encres d’argile. L’écoeurement
de Herve Delabarre le disputait a la colère. Contacté aussitôt, Emilio De Santi entassait jusqu'au grotesque
les réponses douteuses, les procédés déplorables et les
explications les plus fumeuses, ajoutant a notre trouble initial
le sentiment de son mépris ― avant de s’imposer silence. L'affaire
est entendue, nous avonsété grugés, aujourd’hui nous
donnons à lire la liste de ces citations et leur source,chacun
jugera sur pièce, et déclarons en outre ne pas être en mesure
de garantir l’authenticité du reste du poème. Le recueil est
retiré du catalogue.Le
préjudice n’est pas réparable, nous prions Herve Delabarre
et les lecteurs d’accepter nos excuses.
Jean-Pierre
Paraggio
Responsable
de le publication
Responsable de le publication
L’édition
originale ≪ d’AVIDE
D’ELLE
AVILIE
≫ a été tirée
en
février 2000 par Encres
d’argile
― sans mention
d’imprimeur ―
à
145 exemplaires sur papier verge ivoire illustres par Catherine
Cacquevel
dont 19 exemplaires numerotes de 1 a 19 comportant un
dessin original signe par l’artiste et 126 exemplaires numérotes de
20 a 145.
voici se qu'écrivait Pierre Peuchmaurd à son sujet
Brive,
le 23 mars 2000
Herve,
Je
viens de relire Avide d’elle... Tu me dispenseras, je l’espere,
de
te redire ce que tu sais que j’en pense. Ce qui me permet de
te
dire, tres vite, que c’est encore plus beau que dans mon
souvenir
– plus grave et plus important pour moi. Que ce
poeme
me prend (ou que je le prends) plus fortement, plus
profondement
qu’a l’epoque de ma premiere lecture sans que je
puisse
dire qui, de lui ou de moi, a si bien ≪ vieilli ≫ (ca ne veut
rien
dire, et je plaisante ; c’est la vie qui devient dure, plus
bouleversee,
plus accablee). C’est un grand poeme, Herve !
Anne-Marie
B., qui ne connaissait que la partie publiee dans le
≪ Chateau-Lyre
*≫ en a ete tres eblouie elle aussi, et c’est un tres
sur
critere...
(Etc.)
A toi.
Pierre
(Peuchmaurd)
*
De larges extraits d’
≪Avide d’elle
avilie≫ sont publies en
1989/1990
dans le ≪ Chateau-Lyre ≫,
dont le premier numero,
parait
en juin 1989, la revue publiee sous la direction de Guy
Girard,
avec Francois Leperlier, Jimmy Gladiator, Pierre
Peuchmaurd
et quelques autres... compte parmi les
publications
qui ont su tenir un certain cap en pleine debacle
post-moderne.
(nd
Un
recueil d’Herve Delabarre, 'Trois
chemins de nuit et leurs stations'
est
programme pour decembre 2014 dans la Collection de l’umbo
(Passage
du Sud-Ouest), nous l’annoncerons en temps et en heure.Herve
Delabarre
-
Les Metamorphoses du Bill, (HC,
1960),
-
Les Dits du Sire de
Baradel, illustrations de
Jorge Camacho,
(ed.
Peralta, 1968),
-
Metronome du desir
l’eclair, (Ogham, 1970),
-
Lueurs d’antre,
(ed. Autres Rives, 1989),
-
Paroles de Dalila,
(Myrddin,1992),
-
Bribes pour Dalila ,
(Myrddin,1992),
-
Avide d’elle avilie,
illustrations de Catherine Cacquevel,
(Encres
d’argile,
2000),
-
Danger en rive &
autres poemes, postface de
Christophe
Dauphin
(ed. Librairie-Galerie Racine, 2004),
-
Le Lynx aux levres bleues,
(ed. surrealistes, 2007),
-
Efrange le noir, (ed.
Librairie-Galerie Racine, 2010),
-
D’Eleonore et d’autres,
collages de Marie-Laure Missir, (ed.
des
Deux Corps, 2011),
-
Le Plumier de la nuit,
collages de Pierre Rojanski, (ed. des
Deux
Corps, 2011),
-
Les Hautes Salles,
(editions clarisse, 2012).
-
Les Survenants,
dessins de Georges-Henri Morin, (ed. des
Deux
Corps, 2013).
-
Dans l’ombre
du lynx, (Collection
empreinte, A l’index),
2014.
Cette
bibliographie est extraite du site ≪ les Hommes sans
epaules
≫, Christophe Dauphin y presente longuement l’auteur.
Il
convient de signaler la parution en avril 2014 du numero
special
de la revue ≪ A l’index ≫ entierement consacre a Herve
Delabarre
qui comporte un recueil de poemes (Dans
l’ombre
du
lynx), un entretien avec
Jean-Claude Tardif, les temoignages
de
Christophe Dauphin, Paul Farellier, Guy Girard, Paul
Sanda
et les poemes de Jean-Claude Chenut, Andre
Prodhomme,
Roberto San Geroteo et Jacques-Albert Thibaud.
Toutes
commandes : revue.alindex@free.fr
n’en
est pas moins significative ! H.D.
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