samedi 11 mai 2019

La Collection LES CAHIERS présente : nus à l'index d'Olga Caldas

Ouvrage présentant 30 clichés noir et blanc de la photographe
Olga Caldas 

accompagné de textes du poète Werner Lambersy

Ce cahier - en tirage limité -  compose le catalogue d'exposition d'Olga durant le festival de photographie Olga Caldas, vit et travaille à Paris

prix de vente : 17 euros


Olga Caldas travaille depuis près d’une quinzaine d’années sur la mise en scène du corps, et aussi sur sa mise en fiction. Que ce soit dans « Daydreams » où elle donne cours à une autobiographie rêvée, ou dans « Et le corps se délie » (qu’on peut entendre : « Et le corps, ce délit » ), elle transcrit son expérience de l’intime au plus près de la chair, celle de l’autre ou la sienne propre. Aucune pornographie, mais pas de refoulement non plus du processus érotique par lequel
l’homme et la femme, séparément mais implicitement
unis, mesurent leur présence au monde. (…)

Poétique, l’oeuvre photographique d’Olga Caldas ne s’explique pas. Si elle fait réfléchir, ce n’est pas
comme on l’imagine, mais plutôt comme un miroir réfléchit. En suscitant du fond de nous-mêmes un
face-à-face imprévu.
Martine Lecoq, critique d’art. Paris, décembre 2016

Olga Caldas est représentée, depuis 2016, par Bertrand
Scholler - Galerie 55 Bellechasse /Paris 7/Miami.
De 2016 à 2018, elle compte plus de 25 expositions en
France et à l’étranger.


Werner Lambersy, né à Anvers en 1941 vit à Paris depuis 1980.
Sa biographie est à reporter à ses livres : une soixantaine d’ouvrages traduits en vingt langues dont divers livres d’artiste,anthologies personnelles (Actes Sud, Les Vanneaux, Nu(e) 50, À l’index, Sapriphage etc.), six titres chez La Porte, idem aux éditions du Cygne, Cadex, L’ Amourier et Phi, qui lui donnent une place significative dans la poésie contemporaine. Variant le ton et la forme, son oeuvre poursuit une méditation par l’amour, l’écriture et parfois l’humour…
Quelques recueils : Maîtres et maisons de thé (prix triennal et Canada) ; La toilette du mort (L’ Âge d’homme) ; une trilogie majeure : Architecture nuit, éd. Phi (prix Y. Goll), Coimbra, éd Dumerchez (Grand prix SGDL) et Dernières nouvelles d’Ulysse, éd. V. Rougier (Grand prix Micheloud Suisse) ; plus récemment : La Perte du temps (prix Mallarmé et Théophile Gautier, Académie Française), La Chute de la grande roue (Prix des lycéens 2018) tous deux au Castor astral ; deux recueils au Taillis Pré, deux chez Caractères, trois chez Pippa, trois chez L’ Âne qui butine, et Al Manar… chez Rhubarbe, Tipaza, Motus, Collodion L’ Atelier du Lierre, Serge Chamchinov et bientôt chez le Petit Véhicule et Maelström…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire