21X15 - 123 pages intérieures -
rehaussé de fusains, gravures et monotypes
des artistes
Marie Alloy, Jacques Bibonne et Maria Desmée
(tirage100 exemplaires)rehaussé de fusains, gravures et monotypes
des artistes
Marie Alloy, Jacques Bibonne et Maria Desmée
TABLE DES MATIÈRES
Ci-gît
le jour précédé
de Cargo
suivi de Chroniques
incertaines et
de Instantanés
– poèmes et textes
inédits de Patricia
Castex Menier
Les
mots du silence –
entretien avec Patricia Castex-Menier – par Jean-Claude Tardif
Sur
les lignes de crêtes avec l'auteure
Rimbaud
design, ou l’expérience de l’altérité par
Jean-Marie Barnaud.
Portrait
de femme par Jeanine
Baude
Genèse,
archanges et cetera par
Jean Claude Bologne
À
Patricia Castex Menier, par
Danièle Corre
Le
Chemin d'éveil de Patricia Castex Menier par
Pierre Dhainaut
suivi de
Ma Chère Patricia…
Dans
l’imminence du court-circuit par
Alain Freixe
« Crois
en mes yeux plutôt qu'en ceux du temps » par
Werner Lambersy
La
poésie de Patricia Castex Menier … par
Jean Le Boël
Petite
lettre à Patricia par
Jeanine Salesse
Voici
plusieurs décennies par
Jean-Pierre Siméon
Étretat,
peut-être –
séquence- par Jean-Claude Tardif
Mais
la beauté, qu'en faire ?
par Claude
Vercey
Ce
numéro est rehaussé de
Gravures
de Marie Alloy,
de
Monotypes de Maria Desmée
et
dessins de
Jacques Bibonne
Vous qui avez l'amabilité de vous rendre sur ce site, prenez le temps de lire ces lignes pour mieux nous connaître et comprendre pourquoi votre soutien nous est premier - Merci à vous !
A L'index est avant toutes choses une revue dont le premier numéro est paru en 1999. Dans un premier temps, "prolongement papier" des Rencontres du "Livre à Dire (1997/2012), elle poursuit, aujourd'hui encore son chemin, se voulant avant tout un espace d'écrits. Au fil des numéros, elle a vu son format, sa couverture, se modifier. Pour se présenter aujourd'hui et depuis sa 20iéme livraison sous un format plus réduit (A5) et une couverture "fixe" avec comme identité visuelle la vignette créée pour la revue par l'ami Yves Barbier.
A L'index est avant toutes choses une revue dont le premier numéro est paru en 1999. Dans un premier temps, "prolongement papier" des Rencontres du "Livre à Dire (1997/2012), elle poursuit, aujourd'hui encore son chemin, se voulant avant tout un espace d'écrits. Au fil des numéros, elle a vu son format, sa couverture, se modifier. Pour se présenter aujourd'hui et depuis sa 20iéme livraison sous un format plus réduit (A5) et une couverture "fixe" avec comme identité visuelle la vignette créée pour la revue par l'ami Yves Barbier.
Les vingt premiers numéros ont été imprimés par l'Imprimerie Spéciale du Soleil Natal dirigée par le poète-éditeur Michel Héroult. La mort subite et prématurée de ce dernier, en septembre 2012 a laissé la revue orpheline et désemparée. Le tirage du numéro 20 n'ayant été livré que pour moitié, il était impératif de trouver un nouvel imprimeur. La question se posa néanmoins de la cessation de parution.
Primitivement tournée presque exclusivement vers la poésie contemporaine, la revue s'est, au fil des livraisons, ouverte à la prose (nouvelles, textes courts, textes analytiques) Aujourd'hui un équilibre entre ces divers types d'écriture est recherché lors de l'élaboration de chaque numéro. Par ailleurs A L'Index travaille avec des dessinateurs et l'illustrateurs et traducteurs.
Si la revue se présente sous une forme le plus souvent anthologique, avec des rubriques récurrentes, elle consacre aussi à intervalles réguliers des numéros à un auteur qu'elle choisit. Ces numéros sont dits : "Empreintes". Depuis 2015 la revue publie également (hors abonnement) et au rythme d'un titre par an, des ouvrages de poésie en bilingue. La collection s'intitule : "Le Tire-langue". Y ont été publiés à ce jour le poète kosovar Ali Podrimja, le poète turc Özdemir Ince, la poétesse italienne Chiara de Luca, la franco-américaine Françoise Canter et le poète espagnol Miguel Casado.
A côté de cette collection, d'autres existent : "Pour mémoire" où nous avons republié en partenariat avec les éditions Levée d'encre en 2015 "La légende du demi-siècle" d'André Laude et en 2016 "Le rêve effacé" et "La Grande Ragale" récit de l'écrivain voyageur Jean-Claude Bourlès
ainsi que les collections
"Les Cahiers" où, sous la direction de Jean-Marc Couvé, est paru un "Pour Soupault" en 2014.
"Les Nocturnes" où des poètes contemporains mêlent leurs voix (ouvrages écrits à quatre mains) ainsi que la collection
"Les Plaquettes"qui comme son nom l'indique se présentera de petits ensembles de poèmes ou de proses à un prix modique : 7€ port compris. Avec l'espoir de donner envie de lire des auteurs contemporains.
Tous ces titres sont vendus hors abonnement.
La revue A L'Index et les collections satellites, ne bénéficient d'aucune aide et se diffusent par abonnement ou achat au numéro, Notre seule publicité : le bouche à oreille des lecteurs et la fidélité de ceux qui nous connaissent et nous lisent.
Les textes lui étant soumis le sont uniquement par voie informatique (revue.alindex@free.fr)
revue.alindex@free.fr
lelivreadire.blogspot.com
poesiealindex.blogspot.com
Vous pouvez AUSSI commander ce numéro dès à présent prix unitaire (port compris) 17 euros
revue.alindex@free.fr
Quelques réactions des participants et de lecteurs
On en parle
A l’Index n° 34 : Patricia Castex Menier
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Je lis cette poète depuis Flandre, la première plaquette, minuscule, ronéotée parmi les Herbes folles de la première époque du Dé bleu ; et j’ai en juin dernier rendu compte ici-même, c’était l’I.D n° 695, de son dernier livre : Soleil sonore, paru aux Ateliers Vincent Rougier. Combien en conséquence me paraît légitime qu’une revue consacre l’intégralité d’une de ses livraisons à Patricia Castex Menier ! Puis, sitôt la réalisation accomplie, et le numéro 34 d’A l’Index entre les mains, de m’étonner que personne n’en ait pris l’initiative avant Jean-Claude Tardif.
A l’intérieur du livre :
« Les Mots du silence »
de Patricia Castex Menier,
une gravure de Marie Alloy.
« Les Mots du silence »
de Patricia Castex Menier,
une gravure de Marie Alloy.
Fort de ses 124 pages, les Mots du silence, - titre qui fait écho à l’assertion de Patricia Castex Menier : Ce que je sais surtout, c’est que le poème naît du silence et y retourne lorsqu’il est achevé -, suit l’ordonnancement classique pour ce genre d’ouvrage de synthèse et d’hommages : importants inédits en ouverture, puis un entretien de l’auteur avec l’animateur de la revue, des contributions admiratives et amicales enfin, de Jean-Marie Barnaud à Jean-Pierre Siméon, en passant par celles de Jeanine Baude, Jean-Claude Bologne, Danièle Le Corre, Pierre Dhainaut, Alain Freixe, Werner Lambersy, Jean Le Boël, Jeanine Salesse (oui, c’est l’ordre alphabétique qui a été choisi ) ; et je n’aurai garde d’oublier que les écrits s’accompagnent de reproductions en noir et blanc de Fusains, gravures et monotypes, dus à Marie Alloy, Jacques Bibonne et Maria Desmée.
Les poèmes sont extraits de trois ensembles inédits, dont Chroniques incertaines en prose – fait assez rare pour cette auteure, et qu’elle commentera à la suite – et Instantanés, où Patricia Castex Menier retrouve la versification qui lui est familière, où le premier vers n’est qu’un seul mot :
On
a reposé le galet.C’est
un regret.Il avait
une forme de cœur imparfaitMais,
après tout, comme tous les cœurs.
L’entretien avec Jean-Claude Tardif est assez curieux, l’interviewée se dérobant à plusieurs reprises : Je ne sais pas répondre à la question, ou se reprenant : En ce qui me concerne, restons modeste. A ce jeu, se dessine une personnalité toute de retenue, poète par intermittence, dira-t-elle. Néanmoins, dans le feu de la parole, et en dépit du parti-pris de se garder de déclarations trop intempestives : - Bref, je n’ai pas grand chose à dire là-dessus -, on retiendra ce passage :
Ecrire, c’est d’abord être dans l’accueil, cela passe par le regard, l’écoute, une façon de se sentir disponible au monde, à l’autre, et de recevoir ce qu’il a à nous offrir ; alors les mots arrivent, portés par l’émotion (jubilatoire ou douloureuse), certains feront long feu, d’autres subsisteront. C’est ainsi que naît le poème ; ensuite, au travail ! Au travail d’écriture, dont la part la plus importante, en tout cas je le voudrais en ce qui me concerne, consiste à utiliser le mot juste, et rien que celui-là, par respect envers ce qui a déclenché la nécessité d’écrire.
Et de conclure, en un mouvement de retrait caractéristique (en aurait-elle trop dit ?) :
En fait, je n’ai pas de grandes idées, pas d’imagination, et encore moins de théorie.
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